Du lundi 13 février au jeudi 16 février à 10:00
Centre d'arts Fernand Léger
Du 13 au 16 février, 10h-12h, un stage de volume pour les enfants est organisé par le centre d'arts Fernand Léger, animé par Mélissa Rosingana.
En lien avec le travail de Nepheli Barbas, cet atelier sera l’occasion de célébrer et de porter attention à ce qu’il reste après la fête... Inspiré des mosaïques antiques représentant des déchets laissés au sol après un banquet, nous allons créer une scène de fête abandonnée comme figée dans le temps. Mise en valeur des marques d’un repas fictif sur les nappes et serviettes (sérigraphie végétale, gyotaku : empreinte de poissons) ainsi que sur le sol pour créer un trompe-l’œil en mosaïque.
Le lundi 13 février à 10:00
Centre d'arts Fernand Léger
Organisé par le centre d'arts Fernand Léger, il a lieu lundi 13 février de 10h à 17h. Daniel Clauzier l'animera.
Le lundi 13 février à 18:00
Centre d'arts Fernand Léger
C'est le nom de la conférence lundi 13 février, 18h, animée par Daniel Clauzier, artiste-plasticien et historien de l’art.
Des agapes antiques aux bal extravagants du XXe siècle, les repas somptueux accompagnent les événements festifs, les rencontres politiques et même parfois les événements tristes. Dans l'art, le thème du repas, décor des moments forts de la mythologie, la Bible ou l'Histoire, se retrouve avec Le Banquet de Cléopâtre, Le Festin de Balthasar ou encore L'Histoire de Nastagio degli Onesti dans le Décaméron de Boccace.
Le lundi 6 mars à 18:00
Centre d'arts Fernand Léger
C'est le nom de la conférence organisée par le centre d'arts Fernand Léger lundi 6 mars à 18h. Celle-ci s'inscrit dans la cadre de la journée des droits des femmes et sera animée par Claire Migraine, commissaire d’exposition, chargée de production et médiatrice en art contemporain, société et citoyen·ne·s.
Partage une réflexion et des outils contribuant à une possible articulation entre l’art et la vie, entre le personnel et le professionnel, alors que s’émanciper d’assignations et autres aliénations sexistes relève de la gageure dans une société qui impose encore souvent aux femmes de choisir entre création et procréation.
Le jeudi 9 mars à 14:00
Jeudi 9 mars, salle Gagarine, le collectif "Manifeste rien" joue à deux reprise son spectacle intitulé Fadhma et Louise - 1871, le cri des peuples. La première représentation, pour les lycées, a lieu l'après-midi, la seconde, ouvert à tout public, est programmé à 21h.
"Manifeste rien" décrit le scénario suivant.
" Ces deux figures de l'insurrection kabyle et parisienne (Fadhma N' Soumer et Louise Michel) sont soit oubliées, soit réduites à l'image d'égérie révolutionnaire. Elles ont pourtant réalisé ce que les hommes politiques peinent à faire : prendre soin des plus faibles et s'armer contre les puissants.
La dramaturgie dessine l'intimité de ces deux femmes dont les destins extraordinaires croisent l'histoire de l'Algérie, de la France, de la Nouvelle-Calédonie et éclairent les luttes actuelles d'une autre féminité.
Un théâtre entre spectacle et sciences où la poésie, le chant et l'humour permettent de partager les richesses de nos sociétés. Les artistes se démultiplient pour donner corps aux révoltes populaires d'hier et d'aujourd'hui, aux chants d'amour ou d'abandon, voix aux machines ouvrières et cris aux décors de guerre."
En amont de la représentation publique, un buffet est prévu à 20h.
Le vendredi 10 mars à 20:30
Théâtre Le Sémaphore
Vendredi 10 mars à 20h30 au Sémaphore, l'artiste Bongi joue un concert intitulé The light.
Au court de celui-ci, elle livre avec émotion des compositions écrites dans sa langue natale, le xhosa, et mêle son timbre chaud aux guitares et percussions...
Artiste plurielle, native de Cape Town, Bongi donne un nouveau souffle à la musique de ses racines sud-africaines, mêlant Afro, jazz, pop-folk et blues zoulou. Accompagnés de guitares et de rythmiques tout-terrain, ces chants du quotidien, d’amour, de lutte et de nostalgie nous envoûtent et, sur scène, deviennent irrésistiblement festifs, attisés par l’énergie solaire d’une artiste à la rayonnante personnalité…
Tout public. 1h15. Tarifs : de 4 à 14 €
Le lundi 13 mars à 18:45
Centre d'arts Fernand Léger
Organisé par le centre Fernand Léger, l'atelier se fera avec un modèle vivant lundi n13 mars de 18h45 à 20h45. Tina Rondini est l'intervenante.
Le vendredi 17 mars à 20:30
Théâtre Le Sémaphore
Vendredi 17 mars à 20h30, la compagnie 13/31 joue Les femmes de Barbe-bleue, au Sémaphore.
Le théâtre port de boucain présente la pièce ainsi :
"Cinq femmes passent au crible les liaisons dangereuses qui leur ont coûté la vie… Quand est-ce que tout a basculé ? Et comment, ensemble, réécrire l’histoire ? À chaque conte, sa morale. Qu’est-ce qui se cache derrière la porte où les femmes disparaissent ? Et pourquoi tombons-nous dans certains pièges pourtant si visibles ?
Dans cette pièce librement inspirée du conte de Perrault, les fantômes des femmes de Barbe-Bleue nous invitent avec détermination à partager leur désir de compréhension, leur volonté farouche de vaincre la peur de cet homme cruel et de dépasser les dominations imposées dans notre société. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, c’est-à-dire se rebeller !"
14 ans et + / 1h25 / Tarifs : 4 à 14€.
Le dimanche 19 mars à 15:00
C'est une nouveauté de l'association. Dimanche 19 mars à 15h, salle Gagarine, VIE au féminin organise un grand loto de l'association.
Le lundi 27 mars à 18:00
Centre d'arts Fernand Léger
C'est le nom de la conférence organisée par le centre d'art Fernand Léger ce lundi 27 mars à 18h. Elle sera animée par Elsa Crau, historienne de l’art.
Comment le château de Versailles, symbole abhorré par les Révolutionnaires, est-il devenu le théâtre d’une récupération politique au XIXe siècle, notamment par le roi Louis-Philippe Ier qui réalise l’exploit - là où même Napoléon avait reculé - de trans- former les lieux en musée, avec seulement quelques décennies de recul ? Pour tirer le portrait d’une légende en construction au XIXe siècle, on traverse le chantier de restauration gigantesque doublé d’un chantier symbolique non moins complexe et vertigineux, menés de front par le roi Louis-Philippe au château de Versailles ; les bals et les fêtes costumées à la manière de la cour de l’Ancien Régime dont est friande la cour de Napoléon III ; sans oublier l’obsession de l’Impératrice Eugénie elle-même pour la figure de Marie-Antoinette... Versailles, son château, son mode de vie à la cour, n’auront jamais été si célébrés qu’au XIXe siècle.